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Le quiz hebdo

Emplois saisonniers : à tout âge ?

Un adolescent, tout juste âgé de 15 ans, souhaite faire la cueillette du muguet. Ses parents, connaissant bien l’horticulteur voisin, sont d’accord.

Mais l’horticulteur s’interroge : a-t-il le droit d’embaucher un si jeune travailleur ?

La bonne réponse est…
Oui

Un employeur peut embaucher un jeune dès l’âge de 14 ans. Néanmoins, des règles strictes encadrent ces embauches :

  • entre 14 et 18 ans, l’employeur devra toujours obtenir l’accord des parents pour l’emploi du jeune ;
  • entre 14 et 16 ans, l’employeur devra en plus obtenir une autorisation spécifique de l’inspection du travail, au moins 15 jours avant la date d’embauche souhaitée.

Attention : il convient de vérifier que l’activité n’est pas interdite aux mineurs.

Par ailleurs, il est impératif de respecter les conditions et modalités d’emploi des jeunes de moins de 18 ans (horaires de travail, rémunération, obligation de repos quotidien et hebdomadaire, etc).

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Emplois saisonniers : à tout âge ?

Un adolescent, tout juste âgé de 15 ans, souhaite faire la cueillette du muguet. Ses parents, connaissant bien l’horticulteur voisin, sont d’accord.

Mais l’horticulteur s’interroge : a-t-il le droit d’embaucher un si jeune travailleur ?

La bonne réponse est …
Oui

Un employeur peut embaucher un jeune dès l’âge de 14 ans. Néanmoins, des règles strictes encadrent ces embauches :

  • entre 14 et 18 ans, l’employeur devra toujours obtenir l’accord des parents pour l’emploi du jeune ;
  • entre 14 et 16 ans, l’employeur devra en plus obtenir une autorisation spécifique de l’inspection du travail, au moins 15 jours avant la date d’embauche souhaitée.

Attention : il convient de vérifier que l’activité n’est pas interdite aux mineurs.

Par ailleurs, il est impératif de respecter les conditions et modalités d’emploi des jeunes de moins de 18 ans (horaires de travail, rémunération, obligation de repos quotidien et hebdomadaire, etc).

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Propriétaires : « erreur du notaire en votre faveur ? »

Un particulier, qui a acheté un logement pour l’occuper personnellement, décide quelques années plus tard de le mettre en location. Peu de temps après, il se voit interdit de le louer et contraint de reloger son locataire.

Le motif ? Le logement ne peut pas être mis en location, car il ne respecte pas les conditions d’habitabilité du règlement sanitaire départemental.

Parce qu’au moment de l’achat, le notaire ne l’a pas informé de l’impossibilité de louer ce logement, le propriétaire lui réclame des indemnités.

La bonne réponse est …
À tort

Lorsqu’un acquéreur achète un bien pour l’occuper personnellement et qu’il décide, par la suite, de le mettre en location alors qu’il n’en a pas le droit, il ne peut pas le reprocher à son notaire.

Ici, le propriétaire ayant acheté son logement sans avoir manifesté d’intention particulière de mise en location, aucune indemnité ne peut être réclamée au notaire.

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Propriétaires : « erreur du notaire en votre faveur ? »

Un particulier, qui a acheté un logement pour l’occuper personnellement, décide quelques années plus tard de le mettre en location. Peu de temps après, il se voit interdit de le louer et contraint de reloger son locataire.

Le motif ? Le logement ne peut pas être mis en location, car il ne respecte pas les conditions d’habitabilité du règlement sanitaire départemental.

Parce qu’au moment de l’achat, le notaire ne l’a pas informé de l’impossibilité de louer ce logement, le propriétaire lui réclame des indemnités.

La bonne réponse est…
À tort

Lorsqu’un acquéreur achète un bien pour l’occuper personnellement et qu’il décide, par la suite, de le mettre en location alors qu’il n’en a pas le droit, il ne peut pas le reprocher à son notaire.

Ici, le propriétaire ayant acheté son logement sans avoir manifesté d’intention particulière de mise en location, aucune indemnité ne peut être réclamée au notaire.

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CHR : tout le monde en terrasse ?

Un restaurateur qui vient de racheter un fonds de commerce profite de l’arrivée du printemps et des beaux jours pour installer une terrasse sur le trottoir situé devant son établissement.

Pour cela, il se prévaut de l’autorisation d’occupation obtenue par son prédécesseur. Mais est-ce possible ?

La bonne réponse est …
Non

Pour installer une terrasse sur un trottoir, il faut une autorisation d’occupation du domaine public. Celle-ci a notamment pour caractéristique d’être personnelle : cela signifie qu’elle ne peut être ni cédée, ni sous-louée à quelqu’un d’autre, ni vendue à l’occasion de la vente du fonds de commerce.

Le restaurateur ayant ici racheté le fonds de commerce, il doit donc réclamer une nouvelle autorisation auprès de l’autorité compétente (la mairie, le plus souvent). À défaut, il risque d’être condamné au paiement d’une amende de 1 500 €.

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CHR : tout le monde en terrasse ?

Un restaurateur qui vient de racheter un fonds de commerce profite de l’arrivée du printemps et des beaux jours pour installer une terrasse sur le trottoir situé devant son établissement.

Pour cela, il se prévaut de l’autorisation d’occupation obtenue par son prédécesseur. Mais est-ce possible ?

Oui / Non


La bonne réponse est … Non

Pour installer une terrasse sur un trottoir, il faut une autorisation d’occupation du domaine public. Celle-ci a notamment pour caractéristique d’être personnelle : cela signifie qu’elle ne peut être ni cédée, ni sous-louée à quelqu’un d’autre, ni vendue à l’occasion de la vente du fonds de commerce.

Le restaurateur ayant ici racheté le fonds de commerce, il doit donc réclamer une nouvelle autorisation auprès de l’autorité compétente (la mairie, le plus souvent). À défaut, il risque d’être condamné au paiement d’une amende de 1 500 €.

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Un restaurateur qui vient de racheter un fonds de commerce profite de l’arrivée du printemps et des beaux jours pour installer une terrasse sur le trottoir situé devant son établissement.

Pour cela, il se prévaut de l’autorisation d’occupation obtenue par son prédécesseur. Mais est-ce possible ?

Oui / Non

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La bonne réponse est … Non

Pour installer une terrasse sur un trottoir, il faut une autorisation d’occupation du domaine public. Celle-ci a notamment pour caractéristique d’être personnelle : cela signifie qu’elle ne peut être ni cédée, ni sous-louée à quelqu’un d’autre, ni vendue à l’occasion de la vente du fonds de commerce.

Le restaurateur ayant ici racheté le fonds de commerce, il doit donc réclamer une nouvelle autorisation auprès de l’autorité compétente (la mairie, le plus souvent). À défaut, il risque d’être condamné au paiement d’une amende de 1 500 €.

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Un restaurateur qui vient de racheter un fonds de commerce profite de l’arrivée du printemps et des beaux jours pour installer une terrasse sur le trottoir situé devant son établissement.

Pour cela, il se prévaut de l’autorisation d’occupation obtenue par son prédécesseur. Mais est-ce possible ?

La bonne réponse est…
Non

Pour installer une terrasse sur un trottoir, il faut une autorisation d’occupation du domaine public. Celle-ci a notamment pour caractéristique d’être personnelle : cela signifie qu’elle ne peut être ni cédée, ni sous-louée à quelqu’un d’autre, ni vendue à l’occasion de la vente du fonds de commerce.

Le restaurateur ayant ici racheté le fonds de commerce, il doit donc réclamer une nouvelle autorisation auprès de l’autorité compétente (la mairie, le plus souvent). À défaut, il risque d’être condamné au paiement d’une amende de 1 500 €.

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Un restaurateur qui vient de racheter un fonds de commerce profite de l’arrivée du printemps et des beaux jours pour installer une terrasse sur le trottoir situé devant son établissement.

Pour cela, il se prévaut de l’autorisation d’occupation obtenue par son prédécesseur. Mais est-ce possible ?

La bonne réponse est…
Non

Pour installer une terrasse sur un trottoir, il faut une autorisation d’occupation du domaine public. Celle-ci a notamment pour caractéristique d’être personnelle : cela signifie qu’elle ne peut être ni cédée, ni sous-louée à quelqu’un d’autre, ni vendue à l’occasion de la vente du fonds de commerce.

Le restaurateur ayant ici racheté le fonds de commerce, il doit donc réclamer une nouvelle autorisation auprès de l’autorité compétente (la mairie, le plus souvent). À défaut, il risque d’être condamné au paiement d’une amende de 1 500 €.